Après mon arrivée cet été chez Oracle France, au poste de VP Country Leader Technology, et en cette rentrée complexe pour tout un chacun, je tenais à partager mes impressions et mes ambitions pour l’équipe. Pour Oracle. Pour nos partenaires. Pour nos clients.

Intégrer une nouvelle entreprise dans cette période inédite est une expérience très particulière, mais j’ai la chance de retrouver une société que j’ai quittée il y a deux ans et qui a su conserver les valeurs qui font d’Oracle une société unique sur son marché.

L’accueil chaleureux que les collaborateurs d’Oracle m’ont réservé m’a conforté dans l’idée que je rejoignais ici une vraie famille. J’ai retrouvé des équipes engagées, professionnelles, aimant à se dépasser et montrant un esprit collaboratif tourné, bien sûr, vers l’innovation, ce qui a toujours constitué l’ADN d’Oracle, mais aussi vers le service et l’accompagnement des entreprises qui ont choisi de nous faire confiance, ce qui avait pu, parfois, par le passé faire défaut ou s’avérer insuffisant, voire inadapté. J’ai également été agréablement surpris par le nombre de messages enthousiastes reçus de la part de mes contacts, qui saluaient mon choix. Ou quand le cœur et la raison se rejoignent…

Deux ans, c’est une longue période pour une entreprise de la Tech, et encore plus à une époque où tout s’accélère, 4ème révolution industrielle oblige. Et j’ai pu constater les immenses avancées réalisées par Oracle sur son marché : celui de la gestion et de l’exploitation des données, ces fameuses data qui désormais guident et confortent la moindre de nos décisions.

En effet, l’offre a progressé dans de nombreux domaines : nos applications métiers, tout d’abord, avec nos solutions SaaS ERP, EPM, HCM, supply chain ou encore CX et marketing, qui embarquent désormais de l’IA intégrée pour automatiser certaines tâches et qui ont toutes été réécrites pour et dans le cloud, différence fondamentale avec les applications de certains de nos concurrents qui ne font qu’être « hébergées » dans le cloud ; notre socle technologique, ensuite, avec les lancements successifs par Larry Ellison de la toute première base de données autonome, qui permet grâce à l’IA et au Machine Learning d’obtenir une fiabilité et une disponibilité des données absolument incomparables, et de notre infrastructure cloud de deuxième génération, OCI, qui met la sécurité au cœur des systèmes informatiques, en écho aux préoccupations croissantes liées aux cybermenaces.

Ceci, j’en suis convaincu, est amené à faire toute la différence sur le marché, pour le plus grand bénéfice de nos clients. Et c’est justement le constat que je fais, de retour dans cette grande maison : l’adoption du cloud s’est accélérée, qu’il s’agisse de nos offres IaaS, PaaS ou SaaS, et elle s’est accompagnée d’un renforcement aussi bien de la collaboration avec notre écosystème que de l’accompagnement de nos clients dans leurs succès ; eux dont les projets de transformation digitale constituent désormais l’obsession des équipes d’Oracle. Et c’est tout naturellement que la relation avec nos clients et avec nos partenaires s’en ressent. L’évolution, là aussi, est saisissante.

Le lancement cet été de notre offre de services de cloud public au sein même des datacenters de nos clients, Dedicated Region Cloud@Customer, avec tout ce que cela comporte comme garanties de conformité réglementaire et de souveraineté des données pour des secteurs qui ne peuvent s’y soustraire, est un signe qui ne trompe pas ; de même que l’annonce récente de l’ouverture de notre premier datacenter en France dans quelques mois, parmi les 36 régions Cloud qu’Oracle comptabilisera à l’été 2021 à l’échelle mondiale, plus que n’importe quel autre fournisseur. Là aussi, le rythme imprimé par Oracle est stupéfiant : un datacenter ouvert dans le monde tous les 23 jours ! Avec toutes ces possibilités technologiques, nous permettons à chaque type de structure de tirer profit de l’agilité, de la flexibilité et des capacités du Cloud, selon leurs besoins, leurs moyens et leurs contraintes. La toute dernière analyse du marché rendue publique par IDC il y a quelques jours, et qui nous classe désormais parmi les cinq premiers fournisseurs de cloud, conforte également cette idée : oui, Oracle, géant historique de la Tech, est désormais un acteur majeur du Cloud.

Nous étions déjà un acteur essentiel du SI de nos clients, et nous endossons maintenant le rôle de Trusted Advisor dans ce nouveau monde du Cloud. Oracle a su se réinventer, et créer une relation ouverte et transparente avec ses clients, et ce que nous voulons désormais par-dessus tout, c’est les accompagner dans leur transformation et leur apporter les solutions adaptées aux nombreux défis qu’ils doivent relever aujourd’hui. Les directions générales sont plus que jamais impliquées dans les choix technologiques, et nous sommes là pour en démontrer la valeur concrète pour leur business, qu’il s’agisse de conforter leur résilience ou d’accompagner leur croissance.

Cette nouvelle position d’Oracle face à ses clients, au-delà de la richesse et de la qualité de ses offres technologiques, est l’un des points clefs qui ont motivé mon arrivée à ce poste. Cette ouverture se retrouve aussi dans la technologie et le nouvel écosystème de partenaires, qui sont plus que jamais impliqués dans nos succès, et sans qui nous ne pouvons gagner.

Et ce sont tous ces changements, justement, qui permettent de convaincre de nouveaux clients, y compris dans des secteurs où le succès d’une société comme Oracle n’était pas forcément assuré. Je pense à des organisations du secteur public, par exemple, qui se sont appuyées sur Oracle pendant la crise du Covid-19 pour répondre à certaines de leurs problématiques. Cette crise qui a aussi poussé de nombreuses organisations privées à faire appel à nous pour les aider à faire face à des besoins croissants et assurer la performance de leurs services ; je pense à Zoom, par exemple, qui a choisi notre cloud public pour continuer à délivrer ses services à ses utilisateurs passés en quelques semaines de 10M à 300M : 7 pétaoctets qui transitent chaque jour à travers les serveurs du cloud public, ce qui correspond à plus de 90 ans de vidéo HD ! Se rend-on compte de la puissance nécessaire pour assurer la qualité de service ? Je citerais aussi Nissan, qui a opté tout récemment pour notre cloud public pour la gestion de ses calculs haute performance (HPC) ; les exemples vont croissants. On le constate, le succès appelle le succès, et nous allons continuer à progresser, y compris dans des secteurs complexes comme l’industrie, qui a des exigences en termes de cloud auxquelles nous pouvons facilement répondre.

Nous vivons un véritable momentum : nous disposons d’une offre qui répond aux enjeux de cloudification et d’hybridation du SI, en assurant performance, flexibilité, sécurité et compétitivité économique ; nous pouvons compter sur l’engagement sans faille des équipes pour bâtir les succès de leurs clients, et sur un réseau de partenaires à l’expertise reconnue sur leurs marchés respectifs ; et enfin, nous vivons une période d’accélération de la transformation, qui met l’accent sur les composantes essentielles d’un SI à la fois agile et sécurisé. Tous ces facteurs vont nous porter vers le succès, car nous continuerons à mettre le client au cœur de nos préoccupations.

Nous pouvons amener énormément de valeur à nos clients, du moment que nous les écoutons. La nouvelle normalité, c’est l’incertitude à moyen terme, c’est pourquoi les entreprises ont plus que jamais besoin de s’appuyer sur des solutions éprouvées, et sur des partenaires technologiques solides et à l’écoute de leurs besoins. C’est ma conviction, et mon objectif est d’accompagner les équipes d’Oracle dans cette voie, en intégrant encore plus fortement cette culture du service, et du bénéfice final pour le client.

Nombreux sont les défis qu’il nous reste à relever, la course vient tout juste de commencer ; et c’est bien ce qui m’anime ! Etendre la reconnaissance d’Oracle comme acteur essentiel du cloud, expliquer au marché les apports formidables de l’IA au cœur de nos solutions, démontrer en quoi notre cloud de 2e génération est un véritable différentiateur sur les performances et les coûts, prouver l’ouverture de nos solutions, en synthèse, faire connaître au plus grand nombre l’impact d’Oracle dans l’innovation, et dont ils peuvent bénéficier, à tous les niveaux de la chaîne de valeur du cloud.

Je suis convaincu que nous avons à la fois l’offre et les équipes pour relever ces défis liés à la transformation numérique, et je suis impatient de partager cette vision avec nos clients, afin de les assurer, surtout, de notre engagement sans faille à leurs côtés.

Par Christophe Négrier, VP Country Leader Technology Oracle France