Le marché de la collaboration a connu une croissance soutenue au cours des dernières années, bénéficiant d’une demande qui a explosé. En combinant leurs forces, les deux entités entendent mettre en commun leurs offres pour renforcer leur position sur le marché de la collaboration d’entreprise et proposer des solutions plus avancées et plus intégrées pour répondre aux besoins en constante évolution des clients..
Pour Philippe Pinault, co-fondateur et PDG de Talkspirit, « cette fusion représente une opportunité fantastique pour les clients, qui pourront bénéficier de la combinaison de l’expertise de Talkspirit et de Holaspirit en matière de collaboration d’entreprise ». Selon lui, les entreprises de toutes tailles pourront bénéficier d’une solution unique de collaboration, avec des fonctionnalités étendues pour renforcer l’agilité et la performance des équipes. Les clients pourront également profiter d’une expérience utilisateur intuitive, avec une interface ergonomique, conviviale, sécurisée et 100 % souveraine.
Une croissance supérieure à 30 %
Cette fusion permettra par ailleurs de créer des synergies commerciales et de stimuler la croissance des deux entreprises. Avec plus de 1 100 clients et un chiffre d’affaires de plus de 4 millions d’euros, le nouvel ensemble affiche déjà une croissance supérieure à 30 % par an, et qui devrait continuer à croître dans les prochaines années. Présent dans des organisations privées comme publiques, Talkspirit pourra bénéficier de la forte présence d’Holaspirit à l’international et ainsi développer son activité hors du territoire français.Selon un rapport de Grand View Research, le marché mondial des logiciels de collaboration devrait atteindre 17 milliards de dollars d’ici 2025, enregistrant un taux de croissance annuel composé (TCAC) de 10,3 % sur la période 2020-2025. Avec la fusion de Talkspirit et Holaspirit, les deux entreprises seront en mesure de profiter des opportunités de croissance et de répondre à la demande grandissante de solutions de collaboration et d’agilité des équipes à l’échelle mondiale. Leur offre commune pourra ainsi se positionner comme une alternative européenne face aux acteurs internationaux, et contribuer au développement de l’écosystème numérique souverain en Europe.