- Le hobbyist, qui construit ses propres solutions IoT, pour apprendre et pour le fun.
- L'explorateur, développeur indépendant qui étudie les opportunités et gagne en expérience avec des projets en parallèle.
- Le chasseur, dévelopeur expérimenté, concentré sur le business et qui entend gagner de l'argent.
- Le saisonnier, qui développe des solutions IoT à la demande.
- L'enrichisseur, développeur en entreprise qui utilise les technologies IoT pour promouvoir ou élargir des produits non IoT.
- L'optimiseur, ingénieur et intégrateur système qui exploite l'IoT pour augmenter l'efficacité de l'organisation et réduire les coûts.
- Le data broker, qui modélise le contenu digital et la donnée.
- Le chercheur d'or, généralement présent dans une start-up, et qui s'appui sur le phénomène IoT pour chercher à creuser dans l'or des VC.
10 millions de développeurs sur l’Internet des Objets
Le meilleur indicateur de l'envol de l'Internet des Objets ne vient ni de l'explosion des requêtes sur Google ni du discours des analystes, mais plutôt de l'adoption de l'IoT par les développeurs.
La communauté des développeurs de l'Internet des Objets ne cesse de grossir. De 4,5 millions de développeurs en 2015, elle devrait passer à 10 millions en 2020. Au delà des querelles d'analystes sur les milliards d'objets connectés qui envahissent la planète, c'est certainement la plus grande preuve que l'Internet des Objet est devenu une réalité.
Si aucun secteur ne semble échapper à la vague de l'IoT, 6 domaines émergent et concentrent toute l'attention des développeurs : le smart home, les montres connectées (smartwatches), l'IoT industriel, le voiture connectée, les drones, et la réalité augmentée et virtuelle. Chacun de ces domaines dispose de son écosystème, comme le rappelle le schéma ci-dessous.
Par ailleurs, 8 profiles de développeurs cohabitent :