1Samsung Galaxy Note8 : une nouvelle révolution

La nouvelle phablette sous Android 7.1.1 (Nougat) Galaxy Note8 a été présenté par DJ Koh (Président de la division Mobile Communications Business de Samsung Electronics) lors d’une session keynote le mercredi dernier à New York. Samsung veut faire oublier l’épisode douloureux du Note7 avec ce bijou de technologie tant pour son écran large (6,3 pouces), que ses fonctions d’appareils photos sophistiquées ou encore son stylet S Pen (0,7 mm). Sur le plan technique, le Samsung Galaxy Note8 possède un processeur 10 nm à huit cœurs cadencés à 64 bits, dont la version Qualcomm Snapdragon 835 pour les USA et Exynos 8895 pour l’Europe et l’Asie. Le RAM est de 64Go avec une extension de stockage externe jusqu’à 256Go. De plus, cette phablette est waterproof et sécurisée par la plateforme Knox. Sur le côté connectivité, le réseau 4G, Wifi et bluetooth y sont intégrés. La livraison est prévue pour le 15 Septembre. Apple devrait aussi présenter l’iPhone 8 prochainement.
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2Les nouvelles tendances du monde de la Télévision

À l’occasion de l’IFA (Salon de l’électronique grand public à Berlin), FutureSource Consulting a fait une étude sur le marché de la télévision. Un chiffre clé de 27% soit 6,5 millions d’unités de vente de Télévision a été recensé en 2016 avec l’Euro de football, contre une estimation de 5,2 millions seulement en 2017 avec un prix moyen de 420€. L’étude de FutureSource Consulting a ressorti les 3 tendances sur le marché de la télévisons en Europe en 2017 : - 4K : en hausse de 40% par rapport à 2016 avec une baisse continue des prix, - Les écrans de plus de 40 pouces représenteront 60% du marché total européen en 2017 - TV OLED : vente doublée par rapport en 2016. Les clients sont prêts à payer le prix fort. Le design des écrans, leur taille, la qualité de la 4K et de l’OLED continuent d’offrir au terminal TV une position de leader dans les foyers. La 4K, alliée à la fibre à 1Gb/s, offre un débit maximal, par le biais des box sur-puissantes et propose des programmes d’une qualité inégalée. La TV du salon rajeunit chaque année à mesure que l'intensité de la concurrence des autres plateformes s'intensifie.
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3Le hameçonnage, une des cybermenaces les plus dangereuses

Les études menées par le Sans Institute auprès décideurs IT on ressorties 3 cybermenaces les plus rencontrés par les utilisateurs. A la tête et le plus dangereux, le hameçonnage (72 % des répondants, phishing), suivi des logiciels espions (50%) et enfin les ransomwares (49%). Pour les prévenir, 21 % des interrogés investiront dans la formation des utilisateurs, si 81% feront des analyses de logs pour détecter les malwares. Cependant, les autres logiciels malveillants comme le DDoS et les Menaces Persistantes Avancées (APT) sont toujours à surveiller car ils ont de gros impact d’attaques à 11% chacune.
Le #hameçonnage, le leader des #espiongiciels et des #ransomwares Click to Tweet
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4L’armée Américaine veut retourner leurs cyberarmes contre ses adversaires

Lors d’une conférence à Saint Louis, Le Lieutenant Général Vincent Stewart, directeur de la Defense Intelligence Agency a déclaré l’intérêt d’utiliser les logiciels malveillants comme cyberarme contre leurs créateurs. Cela s’avère être un moyen plus offensif que défensif. Le discours d’Art Coviello, président exécutif de RSA,  début 2014, confirme les propos de Vincent Stewart. Il a ainsi appelé les états à renoncer aux armes numériques. Jonathan Sander, directeur technique de Stealthbits Technologies, contredit ces affirmations en exprimant que les USA possèdent déjà une équipe qui se penche sur ses propres actifs numériques pour en faire des armes. Mounir Hahad, directeur sénior de Cyphort Labs souligne en disant que les USA sont absolument capables de développer leurs propres armes et de provoquer les dommages qu’ils veulent. Jake Williams, fondateur de Rendition InfoSec, est du même avis en proclamant la complexité de la rétro-ingénierie. La fondatrice et directrice technique de Shevirah, Georgia Weidman souligne que si le logiciel malveillant n’est pas contrôlé, des conséquences dévastatrices pourront s’avérer.
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5AI washing : problème sur le marché de l‘intelligence artificielle

L’intelligence artificielle a un avenir prometteur sur le marché, ce qui pousse les éditeurs à se pencher dans ce secteur. Cependant, cette pratique désoriente les clients. Les analystes de Gartner invoquent que la mauvaise interprétation de l’IA est source de problèmes. Plus de 1000 éditeurs prétendent ou affirment utiliser des mécanismes d’IA dans leurs produits baptisé "AI Washing" d’ailleurs par Gartner. Jim Hare, vice-président chez Gartner précise que des informations et la différenciation de par rapport à d’autres technologies s’imposent lors d’un étiquetage IA d’une technologie et le Machine Learning n’est qu’une partie de l’IA. Les outils de BI s’appuient sur des données pour offrir des indicateurs via le reporting, l’analyse et la visualisation de données. Par contre, l’Intelligence Artificielle apporte elle-même des solutions aux problèmes, via les données et le calcul.
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6Plus de 500 applis infectées sur Google Play Store

Les chercheurs en sécurité de Lookout ont détecté plus de 500 applications qui embarquaient un kit de développement publicitaire particulièrement douteux. Ce logiciel conçoit un portail pouvant exécuter n’importe quel code, par le biais de téléchargement de "plugins", et envoie les liens pour télécharger des fichiers JAR contenant des classes Java à intégrer. Le malware extrait les l’historique détaillés des appels des utilisateurs à leur insu. Ces 500 applications (jeux, applis météo, radios web,éditeurs de photo, etc.) ont été téléchargées plus de 100 millions de fois d’où l’importance des problèmes de sécurité. Cependant, il est difficile de les identifier car ce ne sont pas tous les SDK qui sont porteurs du système de plugin. Google a décidé de remplacer les applications infectées par des versions inoffensives suite à l’interpellation de Lookout .
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7Les robots de compagnie : Meilleurs amis mais facile à pirater

Les chercheurs en sécurité d’IOActive ont trouvé une défaillance au niveau du système de fonctionnement des robots domestiques ou professionnels. Cette faille facilite leur piratage à distance pour des fins machiavéliques ou même terroristes. Une vidéo démontre par exemple comment transformer le robot NAO/Pepper de SoftBank en caméra de surveillance, pilotable à distance par de simples commandes en ligne. Encore pire, le robot Alpha2 de UBTech transformé en machine à tuer grâce à un malware créé par des chercheurs. Plus de 50 failles ont été trouvées durant ces recherches et remontées chez les constructeurs qui ne semblent pas se soucier du problème. Leur travail sera présenté ce 24 août à l’occasion de la conférence HITB GSEC à Singapour.
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820 milliards de dollars de revenus potentiels pour Salesforce

L’affirmation de Marc Benioff sur Twitter, "Salesforce a gagné. Oracle a perdu. Maintenant en route pour les 20 milliards de dollars" montre son ambition de dépasser les 10 milliards de revenus sur l’année. En effet une hausse de 25% soit 2,56 milliards de dollars a été évaluée sur le CA annuel pour ce le spécialiste du CRM en mode SaaS, avec une trésorerie de 331 millions de dollars sur ce trimestre soit un total de 3,5 milliards de dollars. Quant aux bénéfices de la société sur le deuxième trimestre, elle annonce moins de 17 millions de dollars, une baisse de 92% par rapport au trimestre de l’année précédente (229 millions de dollars). Mais à chaque dollar de revenu, Salesforce dépense 45 cents en forces commerciales et marketing.
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