Toutes les applications et les données ne sont pas prêtes pour rejoindre le cloud, qu’il soit public ou privé...

Le phénomène est simple, et mérite qu’on le rappelle : un workload sur deux (50 %) n’a pas le bon format pour le cloud. Concrètement, la forme et le code actuels de la moitié des applications et des données utilisées dans les organisations ne peuvent être portés et supportés dans le nuage.

Tout n’est cependant pas perdu - à l’exception d’applications ou de données marginales, réalisées à partir de langages exotiques ou stockés dans des systèmes méconnus ou oubliés - et des alternatives existent. En voici 3. Elles sont parfois radicales, mais présentent au moins l’intérêt d’apporter des réponses tout en offrant certainement des approches plus efficaces.

1Trouver un fournisseur d’hébergement

Il suffit parfois de trouver un nouveau foyer pour qu’une application continue de mener des jours heureux à votre service. Peut-être que, dans un datacenter ignoré, existe un équipement qui supportera votre application et vos données, et qui les intégrera au cloud. Et il peut même s’agir d’un des grands du cloud public, Amazon, Azure, Google ou IBM. Déjà amortie, votre application pourra continuer d’être rentable jusque sur le nuage.

2Envisagez le refactoring

C’est cher et ça prend du temps ! Mais lorsque conserver une application, spécifique, voire stratégique, s’impose, tout en nécessitant d’être transposée dans le nuage, il faudra probablement repasser par la case du développement et de la création d’un nouveau code, compatible avec le cloud.

3Trouver une alternative SaaS

Des milliers d’éditeurs SaaS dans le monde proposent des solutions et des outils d’automatisation dans tous les domaines. Si votre héritage applicatif ne supporte pas le cloud, alors envisagez de le remplacer par des solutions en SaaS, qui plus récentes auront le mérite également de dépasser vos attentes en termes de fonctionnalités et de sécurité.