Nvidia a déclaré, via son PDG, Jensen Huang, qu’ils n’ont pu découvrir ce qui a provoqué l’accident mortel à Tempe, entre le taxi Uber et la passante. « Nous ne savons pas ce qui s’est passé », affirme-t-il. Aussi, afin d’éviter par la suite que ce genre d’évènement ne se reproduise, la firme propose ses technologies pour améliorer les tests sur les véhicules autonomes. Bien que l’accident n’ait pas été provoqué par une défaillance du logiciel Drive PX, Nvidia se sent cependant mal en point, puisque cette technologie est le cœur-même de l’intelligence de ces voitures.
Nvidia propose donc de renforcer les tests virtuels afin d’entrainer les voitures. Grâce à SIM and Constellation, les tests vont permettre d’évaluer les capteurs, par exemple. Autre proposition de la firme, avant le lancement sur route du véhicule, est le pilotage à distance. Au cas où la voiture rencontre des difficultés, des obstacles par exemple, elle s’arrête automatiquement, en attendant une intervention humaine. Pour cela, Nvidia a recours à la technologie holodeck, qui utilise la réalité virtuelle.