quant à leur réussite.
Les répondants de l’hexagone confirment un optimisme remarquable avec 82 % d’entre elles se disant confiantes dans leur réussite future. Cela s’explique en grande partie par le fait que les PME considèrent les technologies numériques comme des moteurs de croissance essentiels, un élément favorisant la hausse de leur chiffre d’affaires
selon 74 % des sondés.
Aussi, 23 % d’entre elles ont augmenté leurs effectifs et 39 % prévoient d’embaucher au cours des douze prochains mois. Toutefois, elles accusent également un retard non négligeable dans l’adoption des nouvelles technologies puisque seuls 47 % des PME françaises sondées déclarent avoir investi dans l’IA l’année dernière, contre une moyenne mondiale de 72 %.
Les PME misent sur le numérique pour gagner en productivité, optimiser leurs opérations et améliorer l’expérience client. Cette étude révèle que près de 69 % d’entre elles ont déjà intégré des solutions d’IA, et beaucoup constatent déjà des bénéfices concrets, notamment un gain de temps leur permettant de se concentrer sur des tâches créatives à plus forte valeur ajoutée.
51 % des PME citent l’amélioration de leur efficacité opérationnelle comme principale source de confiance, contre 37 % en 2023. Les entreprises ayant investi significativement dans les outils numériques et l’optimisation des processus au cours des trois dernières années récoltent aujourd’hui les fruits de ces efforts :
- processus rationalisés
- réduction des pertes
- gains d’efficacité.
Plus de 51 % des PME ont subi une augmentation de leurs coûts au cours de l’année écoulée, en raison de l’inflation et des difficultés liées à la chaîne d’approvisionnement. Au Canada, 61 % des PME les ont même signalés, soit le taux le plus élevé parmi
les régions étudiées.
Les pressions financières restent une préoccupation majeure pour 42 % des PME, qui déclarent que l’accès limité au financement a un impact sur leur croissance. Cette situation a incité 73 % des PME à soutenir la facturation électronique imposée par le gouvernement, reconnaissant qu’il s’agit d’un moyen de rationaliser les opérations et d’améliorer
les flux de trésorerie.