Trois quarts des dirigeants d’entreprise estiment que les questions de conformité (76 %) et de sécurité (75 %) sont un frein pour la capacité d’innovation de leur société.
Ce constat est dû, en partie, au temps consacré aux audits de conformité, aux risques et aux dysfonctionnements.
Dans le même temps, les dirigeants privilégient massivement une approche de type « shift left », qui consiste à avancer les tests et l’évaluation des logiciels dans le cycle de vie du développement, laissant ainsi la charge de la conformité aux équipes de développement.