Culture Digitale : 1 #OVH 2 #Uber 3 #Chrome64&65 4 #SamsungGalaxyS9 5 #GoogleSearch 6 #GoogleStreetView

La matinée du 9 novembre dernier, l’hébergeur Internet OVH a été touché par une importante panne électrique rendant l’accès à de nombreux sites impossible, en France et en Europe. Octave Klaba, directeur général de l’entreprise, a expliqué dans un tweet que 4 arrivées électriques étaient tombées en panne et par conséquent ne pouvaient plus alimenter la salle de routage. Il a également signalé un autre problème qui serait survenu dans toutes les liaisons optiques 100G de Roubaix, Clichy, Londres, Bruxelles et Amsterdam. C’est après l’intervention d’ERDF que les serveurs ont commencé à se remettre en état. Rappelons qu’en juin dernier, ce spécialiste du cloud computing a subi un énorme incident ayant affecté près de 50.000 sites web. Actuellement, la firme est en plein développement en France et à l’international. Sur cette lancée, elle prévoit un recrutement en masse. Le DG a confirmé sur Twitter que la société accueillait jusqu’à 30 à 40 collaborateurs toutes les deux semaines. À lire aussi : OVH OpenStack

Lors du Web Summit de Lisbonne, Jeff Holden, Chief Product d’Uber, a annoncé un partenariat avec la Nasa dans le cadre du programme uberAIR. L’entreprise technologique américaine souhaite effectuer les premiers tests dès 2020 à Los Angeles, à Dallas Fort Worth et à Dubaï. Quant à la commercialisation, elle serait prévue pour 2023. Les taxis volants seraient pilotés par des humains, mais cela n’exclut pas une pleine autonomie dans un futur proche. Dans ce projet, la Nasa va créer un système de contrôle aérien pour assurer la sécurité des passagers. Ce qui laisse entrevoir une collaboration avec la Federal Aviation Administration. Pour anticiper son lancement, Uber a publié une vidéo d’illustration. Selon l’entreprise, les taxis volants se présentent comme la solution idéale pour gagner du temps. Le trajet entre l’aéroport de LA et Staples Center ne prendrait que 30 minutes au lieu de 1h20 minutes. Avec uberAIR, la feuille de route pour les JO de Los Angeles de 2018 est prête. À lire aussi : Après Uber, le sexe aura-t-il raison de la Silicon Valley ?

Selon The Verge, les nouvelles versions de Google Chrome seront plus strictes et bloqueront toutes les fenêtres générées par des pubs intrusives. Les mesures se feront en trois temps. Le nouveau système va d’abord empêcher les redirections automatiques vers un site. Ensuite, il bloquera les reverses « pop-up » et fera de même avec les liens publicitaires « déguisés ». Ces fonctionnalités seront disponibles dès le premier trimestre 2018. Le géant du web ne laisse rien au hasard. L’entreprise a développé un outil en ligne baptisé « Rapport d’expériences abusives » pour permettre aux développeurs de voir si leur site correspond aux normes du cahier des charges. Dans le cas contraire, ils auront 30 jours pour faire des mises à jour, autrement, Google les bloquera. Toujours d’après The Verge, ces mesures répondent aux besoins urgents de stopper les publicités de plus en plus abusives. À lire aussi : Google Chrome s’attaque aux sites HTTP

D’après The Investor, un site sud-coréen, le Samsung Galaxy S9 n’aura pas un capteur d’empreintes digitales. Apparemment, la marque aurait du mal à trouver la place pour l’intégrer. Le site rapporte également que l’entreprise n’a pas abandonné l’idée, particulièrement pour le Galaxy Note 9 qui actuellement est en pleine phase de développement. Rappelons que l’été dernier, Qualcomm a présenté ses nouveaux capteurs d’empreintes multifonctions à placer sous l’écran ou tout simplement sous une couche de métal. La firme affirme que cette solution mobile intégrée ne sera pas commercialisée avant fin 2018. Quoi qu’il en soit, beaucoup espèrent que Samsung intègre son capteur à un endroit plus accessible. À lire aussi : Pourquoi le Samsung Note 7 explose ? Voici la meilleure des théories

Google serait en train de développer une nouvelle fonctionnalité permettant de connaître le temps d’attente dans un restaurant. Pour se faire, Google explique dans son blog qu’« il suffit de chercher le restaurant sur Google, d’ouvrir sa fiche, et de faire défiler les informations jusqu’à la section Horaires d’affluence. Là, vous pourrez voir le temps d’attente estimé en temps réel ». Selon les données, cette fonction recense près de 1 million d’établissements dans le monde. Cependant, elle n’est pas infaillible puisque les estimations sont basées sur des informations des semaines précédentes. À lire aussi : Google sait (presque) tout de vous, et vous le montre

L’AEPD (Agencia española de protección de datos) a infligé à Google une amende de 300.000 euros pour infraction à l’article 6 de la Ley de protección de datos. Apparemment, le géant du Web aurait collecté des données sans le consentement des personnes concernées dans le cadre de son projet Street View. Selon le verdict de l’APED, qui évoque l’historique de l’enquête, ces informations en question sont des adresses électroniques, des messages et des fichiers (images, vidéo, audio…). Faits reconnus par la firme de Mountain View avec des explications à l’appui. En effet, Google affirme avoir isolé les données sensibles. L’agence a finalement appliqué le principe des « circonstances atténuantes » pour ne retenir qu’une seule infraction. À lire aussi : L’IA pourrait booster la valorisation de Google à 1 trillion $