1Est-ce qu'iOS 11.1 pourra résoudre les problèmes d’autonomie de l’iPhone ?

Suite aux problèmes d’autonomie de la dernière version de son OS mobile, Apple se penche sur une nouvelle version 11.1 pour améliorer la situation. iDevicesHelp a effectué des tests successifs sur 3 appareils différents, dont un iPhone 6 Plus, un 7 Plus et un 8 Plus avec la version 11.0.3 d’iOS, puis avec la version 11.1 bêta 4, écran allumé et chronomètre activé. Avec 11.0.3, tous les appareils se sont éteints au bout de 4h à 4h45 d’activité. Avec la version 11.1, le 7 Plus a gagné 2h30 d’autonomie, le 6 Plus a tenu 3 heures de plus, et le 8 Plus environ 4 heures. Suite à un second test complet, le Youtubeur a confirmé ces résultats. Les utilisateurs ne doivent cependant pas s’attendre à de tels résultats, vu les conditions d’essai. Le lancement de la version finale d’iOS 11.1 et de l’iPhone X aura lieu le 3 novembre prochain. De nouveaux tests seront effectués à cette date...
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2Disparition totale du Kinect de Microsoft

Ce n’est plus une rumeur. Microsoft vient d’officialiser la disparition totale de son Kinect. Ces caméras à détection de profondeur, capables de retranscrire les mouvements des joueurs en action, ont enregistré 35 millions d’unités vendues au niveau mondial, depuis son lancement en 2010, mais les ventes ont chuté durant les derniers trimestres. La firme a décidé d’arrêter les chaines de production de ce capteur de mouvement qu’on retrouve dans le casque HoloLens et dans le programme Windows Mixed Reality. Après Kinect, la technologie de détection de profondeur a cependant de très beaux jours devant elle. Elle est utilisée pour FaceID, le système de reconnaissance faciale du dernier flagship d’Apple, suite au rachat de PrimeSense, la société qui a travaillé sur la conception du Kinect.
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3Surferlab, le laboratoire pour la maintenance intelligente des trains

Après une collaboration fructueuse dans le projet Surfer de 2010, qui a mis au point un système embarqué de détection des pannes sur les portes des trains, Bombardier, Prosyst et l'Université de Valenciennes et du Hainaut-Cambraisis se sont associés pour créer un laboratoire de recherche dédié à la maintenance intelligente des trains. Ce laboratoire s’appelle SurferLab et son inauguration a eu lieu récemment à Valencienne. SurferLab est dédié au traitement embarqué de l’information. Ce labo dispose d’un budget de 2,1 millions d'euros sur 4 ans, dont 500.000 euros proviennent d’un financement de la région Hauts-de-France. Il profite de la mise à disposition de personnel des trois acteurs impliqués. L'intelligence artificielle assiste les personnes responsables dans le choix de la meilleure stratégie, en croisant les données avec des informations collectées dans les différents dépôts. Pour faciliter la maintenance, SurferLab travaille aussi sur d'autres applications, comme la réalité augmentée et la reconnaissance vocale. Ces concepts pourraient être transposés à d'autres secteurs d'activité, comme la production industrielle ou l'aéronautique.
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4Parrot se tourne vers les drones pour les professionnels 

Face aux géants chinois dans le domaine du drone grand public, Parrot s’est vu obligé de licencier un peu moins de 300 personnes en début d'année. La firme juge que le drone pour les professionnels pourrait être une voie de développement. Dans un catalogue de services dénommé Parrot Air Support, la firme présente Parrot Bluegrass, un drone destiné à l'agriculture, capable de cartographier automatiquement jusqu’à 30 hectares à 70m d’altitude avec une batterie. C’est un quadricoptère équipé de deux caméras embarquées dont la première est une caméra vidéo frontale full HD capable de surveiller les infrastructures, terrains ou troupeaux des agriculteurs, tandis que la seconde caméra est un capteur multispectral permettant d’obtenir un aperçu des terrains et de détecter les zones à problème. La firme a aussi lancé Parrot Bebop-Pro Thermal, pourvue de deux caméras capables de réaliser les inspections et les surveillances visuelles d’une structure ou d’une zone spécifique.
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5Enquête interne de Kaspersky : des maliciels de la NSA impliqués

Après l’annonce officielle du lancement d’une enquête interne en début du mois, Eugène Kaspersky en délivre les premiers résultats. Les outils de protection de l’éditeur semblent s’être contentés de fonctionner correctement. Il assure que son antivirus, qui fonctionnait dans sa configuration de base prévue, a découvert en 2014 de nouveaux échantillons de maliciel inédit sur un ordinateur aux Etats-Unis. Kaspersky les attribue au groupe Equation, soupçonné de liens avec la NSA. Kaspersky confirme avoir détruit les échantillons et ne les avoir partagés avec personne. Il assure n’avoir pas trouvé de trace d’intrusion d’autre infrastructure que celle qu’il a lui-même révélée en juin 2015. Cette dernière semble avoir été créée à partir de la même plateforme, dite tilded. Eugène Kaspersky a tweeté qu’un examen indépendant, par un tiers de confiance, est prévu, dans le cadre de son initiative de transparence.
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6Ransomware Bad Rabbit : une attaque bien organisée

24 octobre, l’agence Interfax a donné l’alerté en annonçant la chute de ses serveurs sous l’effet d’un nouveau ransomware, surnommé Bad Rabbit. Selon Avast, la diffusion massive du rançongiciel a touché le métro de Kiev, l’aéroport d’Odessa, et de nombreuses plateformes en Bulgarie, en Allemagne, en Turquie, au Japon, en Corée du Sud, en Pologne et aux Etats-Unis, avant de s’étendre au niveau mondial. La propagation de Bad Rabbit trouve sa source dans les sites Web compromis et sur les partages WebDAV. Selon Group IB, Bad Rabbit serait bien une version modifiée de NotPetya. Ses auteurs semblent bien organisés pour pouvoir déchiffrer les fichiers des victimes spécifiques après paiement de la rançon. Costin Raiu de Kaspersky pense que les attaquants ont au moins commencé à mettre en place leur infrastructure au mois de juillet dernier, voire plus tôt. Il indique aussi que le site web d’information ukrainien Bahmut a été compromis. Actuellement, les systèmes de protection du poste de travail détectent les composants de Bad Rabbit et ceux d’autres ransomwares. Et un chercheur propose une règle Sigma, pour détecter les prétendues mises à jour du lecteur Flash ne provenant pas des serveurs d’Adobe.
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