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Selon les sites américains TechCrunch et ReCode, Apple serait sur le point de débourser 400 millions de dollars pour l’achat de la célèbre application Shazam. Quelques rumeurs sur les raisons de cette importante opération fusent. Certains observateurs pensent que la marque à la pomme souhaiterait acquérir et bénéficier des technologies et algorithmes de Shazam. Rappelons que cette application a le don d’identifier avec une précision incroyable tout type de musique, même une simple bribe. Cette main-mise sur Shazam permettrait aussi à Apple de faire des économies et de ne plus lui payer des commissions. En effet, à chaque fois qu’un utilisateur d’iPhone/iPad a recours aux services de Shazam, cette dernière le redirige automatiquement vers iTunes Store. Certains opérateurs avancent aussi l’idée de faire disparaître la célèbre application, ce qui causerait une perte immense pour Spotify et Google Play Music qui utilisent les services de Shazam. Autre rumeur, qu’Apple ne confirme et n’infirme pas non plus, la possibilité que le service de vente de musique sur iTunes soit fermé. Enfin, cette importante transaction amènerait Apple à bénéficier des meilleurs services de l’application tels que suivre les actus sur les peoples qui utilisent Shazam et être aux premières loges pour connaître les nouveaux goûts musicaux des stars. À lire aussi : Pourquoi Apple refuse de convertir le Mac à l’écran tactile ?

Coordinateur de projet au sein de l’Institut Louis Bachelier, Stéphane Voisin a déclaré que pour faciliter la mise en œuvre de l’Accord de Paris signé lors de la COP21, « La blockchain nous est apparue comme la solution la plus pertinente pour créer des consensus et des standards, apporter de la transparence et créer un cadre de reporting ». Tous les pays signataires de l’accord auront comme obligation de faire une réévaluation de leurs engagements tous les 5 ans auprès de l’ONU. Et les usines en Europe doivent établir un reporting annuel sur leurs émissions de CO2. La mise en place de cette blockchain permettra un contrôle plus facile aux pays qui n’ont pas accès au système Mesurement, reporting and verification, ou MVR. Les dix principes pour élaborer cette blockchain seront officialisés le 12 décembre lors du consortium international organisé en marge du Sommet Climat. En conclusion, Stéphane Voisin a annoncé que « L'idée est de créer une interconnexion entre ces initiatives pour créer un sorte de puzzle de blockchain qui permettrait de couvrir une part de l'économie suffisamment importante pour avoir un impact.» À lire aussi : 3 façons de débuter avec la blockchain

Afin d’assurer une conduite 100% autonome, Renault a intégré trente cinq capteurs différents sur Symbioz Demo Car. Les Lidars ont été discrètement installés sous les phares avant, et la caméra bi-focale ne fait qu’un avec le pare-brise. Les capteurs ultra-son sont presque indétectables sur la carrosserie. Aussi, Renault serait peut-être bien en mesure de produire un véhicule autonome de niveau 4 vers 2023. A bord du Symbioz Demo Car, on retrouve P-OLED, la planche de bord de chez LG, TomTom pour la cartographie haute définition qui sera très utile à la voiture pour localiser la route en l’absence des marquages au sol. Ce petit bolide électrique dispose d’un pack de batterie de 72 kWh pour le moment. Le constructeur a tout de même évoqué l’éventualité d’augmenter cette puissance à 100 kWh afin de permettre à la voiture autonome d’effectuer un trajet de 500 km. À lire aussi : Constructeurs automobiles et équipementiers IT se connectent à la voiture autonome

Selon IDC, les investissements liés à l’Internet des objets ou IoT connaîtront une hausse annuelle de plus de 14% d’ici 2021. D’après le cabinet d’étude, les dépenses mondiales relatives aux objets connectés en 2018 atteindront les 772.5 milliards de dollars, contre 674 milliards pour cette année 2017. Ce taux de croissance sera maintenu et amènera les investissements à dépasser le seuil des 1.000 milliards de dollars en 2020. L’essentiel de ces dépenses sera rattaché aux infrastructures et à la sécurité, soit 239 milliards pour 2018. La progression majeure sera observée du côté software avec 16,1% l’an, suivi de près par les services qui seront à un taux de croissance de 15,1%. Rappelons que la première consommatrice de l’IoT est l’industrie avec plus de 189 milliards d’investissements. Viennent après le domaine des transports avec 85 milliards de dépenses et les services publics (73 milliards). Pour le grand public, les fonds dédiés à la maison connectée atteindront les 62 milliards. À lire aussi : Expérience Filtrage des accès internet, DSI du Conseil Départemental 61

Mercredi dernier, le mathématicien français Cédric Villani a mis à la disposition du grand public une plateforme permettant d’émettre avis et idées sur l’Intelligence Artificielle. Ouverte à tous jusqu’au 6 janvier 2018, le rapport final sera disponible vers la fin du mois de janvier. Le lancement de cette plateforme collaborative a été effectué en marge de sa mission sur l’IA, mandatée par Mounir Mahjoubi, le secrétaire d’Etat au Numérique. La mise en place de la plateforme a été motivée par les diverses sollicitations reçues par le député Villani après une audition menée sur 250 personnes en septembre. Le public dispose donc d’un mois pour donner son avis et pour partager ses idées sur l’IA. Pour éviter l’éparpillement d’idées, 7 thèmes ont été imposés. Le mathématicien s’est fixé deux objectifs, celui  « « d’offrir un environnement de travail » aux scientifiques et « un écosystème plus favorable à la création d’entreprises et aux entrepreneurs ». Depuis le lancement le 6 décembre dernier, on note plus de 500 contributions, y compris celles de Villani. À lire aussi : 8 tendances cybersécurité qui vont affecter 2018

Pour prendre soin de ses relations avec les maisons de disques, Youtube projette de lancer un service payant en 2018. Selon Bloomberg, « Remix », ce futur service payant, mettra à la disposition des internautes un catalogue riche en musiques et en clips vidéo, toujours en streaming. Pour la concrétisation de ce projet, Youtube a déjà signé un accord avec Warner Music Group et Sony Music Entertainment, ainsi que Merlin. Rappelons que Google a déjà fait quelques tentatives pour faire payer ces contenus musicaux en 2011 et en 2014 avec Youtube Music Key. Ce nouveau service serait en quelque sorte un mix entre Google Play Music et Youtube Red, qui a vu le jour en 2015. À lire aussi : McDo UK ferme sa chaîne YouTube… par manque d’amour !