4 entreprises sur 10 considèrent dès aujourd'hui qu'être 'software driven' est un avantage stratégique critique. Elles seront 8 sur 10 dans 3 ans.

La transformation digitale des entreprises passe par le pilotage par logiciel (software driven). L'étude « The Battle for Competitive Advantage in the App Economy », menée par Oxford Economics pour le compte de CA Technologies, vient le confirmer. 43 % des décideurs des entreprises interrogées considèrent que le 'software driven' est un élément essentiel dans leur stratégie, et leur apporte un avantage concurrentiel. Et elles seront 78 % dans 36 mois.

L'entreprise 'sotfware driven'

Dans l'avenir, le différenciateur clé sera l'expérience client. Concrètement, cela se traduit par une transformation digitale généralement plus subie que souhaitée, qui va au-delà de la seule augmentation de la qualité des produits et services, de l'agilité et de la rapidité. C'est le domaine de l'économie des applications dont le but principal est l'accélération de la prise de décision, exprimée par 45 % des entreprises aujourd'hui et attendue par 61 % au cours des 3 prochaines années.

L'adoption de l'approche 'software driven' évolue donc à un rythme d'autant plus rapide que 36 % des entreprises estiment que le pilotage par le logiciel a un impact positif sur la performance financière, et 42 % sur le développement de nouveaux produits.

Les entreprises investissent dans le logiciel

Extraites de l'étude « The Battle for Competitive Advantage in the App Economy », voici quelques tendances pour les années à venir :

  • 51 % - Des entreprises ont déjà investi dans le logiciel et les API.
  • 49 % - Procèdent à des développements internes.
  • 47 % - Pensent avoir recours à des fusions/acquisitions.
  • 48 % - Intègrent les analytiques dans leur stratégie clients.
  • 60 % - Investissent dans la protection des données des clients.
  • 40 % - Recherchent de nouvelles compétences. 

Léger bémol dans ce concert de louanges pour le pilotage par le logiciel, 40 % des répondants à l'étude ont déclaré que leur entreprise ne supportait pas la culture du logiciel et du développement...