Trois quarts des dirigeants d’entreprise estiment que les questions de conformité (76 %) et de sécurité (75 %) sont un frein pour la capacité d’innovation de leur société.
Ce constat est dû, en partie, au temps consacré aux audits de conformité, aux risques et aux dysfonctionnements.
Dans le même temps, les dirigeants privilégient massivement une approche de type « shift left », qui consiste à avancer les tests et l’évaluation des logiciels dans le cycle de vie du développement, laissant ainsi la charge de la conformité aux équipes de développement.
De fait, 83 % des dirigeants considèrent cette approche comme importante pour leur entreprise, et 77 % déclarent mettre actuellement en œuvre une approche de sécurité et de conformité de type « shift left ». Malgré cela, 58 % des cadres dirigeants estiment que cette approche représente une charge pour leurs développeurs.
Télécharger l’enquête complète réalisée auprès de 600 cadres supérieurs d’entreprises d’au moins 250 employés aux États-Unis, en Australie, en France, en Allemagne, en Espagne et au Royaume-Uni.