Que ce soit sur le plan social ou professionnel, l’année écoulée a bousculé bien des modes de vie et nécessité bien des adaptations. Le « quotidien numérique à distance » est devenue sinon une habitude, du moins une presque normalité.

La pandémie a indéniablement favorisé la transition vers les échanges humains « tout numérique », permettant notamment de poursuivre une certaine activité économique alors que la situation de crise s’éternise et que le « distanciel » fait désormais partie intégrante de la vie professionnelle. Pour le cabinet d’analyse Future source commandité par Logitech, avant la crise CoviD, près de 17% des personnes interrogées n’avaient jamais envisagé le télétravail, chiffre qui tombe à 12% pendant les premiers confinements et à 9% aujourd’hui, en considérant que l’on est en période post-Covid avec une reprise du travail. Et pour ceux qui « télétravaillaient » déjà, la tendance actuelle est désormais de1 à 2 jours par semaine à distance pour 29% des personnes interrogés, voire 3 à 4 jours hebdomadaire pour 27%.

Quid du télétravail en période post-Covid ? Seules 24% des personnes interrogées pensent renouer avec les méthodes traditionnelles à la sortie de la crise contre un taux de 40% en tout début. Enfin ils sont près de 27% à penser que le « distanciel » se pratiquera au moins sur 3 à 4 jours par semaine.

Le futur est à l’HybridWorkplace

L’HybridWorkplace, sera-t-il la nouvelle norme ? Alors que la préférence pour de nombreuses personnes irait à 2 jours au moins de télétravail par semaine, la génération Z, quant à elle, enfonce le clou en déclarant, à hauteur de 74% des suffrages, que le travail c’est à la fois à la maison et sur le site de l’entreprise (étude juin 2020, SalesForce Global Workforce).

Les entreprises tiennent compte de ces évolutions et elles sont même déjà 74% à anticiper en envisageant de légitimer le travail hybride dès la période post-Covid atteinte selon une étude commanditée par Barco.

D’ailleurs pour ce fournisseur d’outils de téléconférence et acteur historique des vidéo projecteurs, il est grand temps de totalement repenser notre façon de travailler afin d’y intégrer les nouvelles spécificités apparues avec la pandémie mondiale. La grande question qui se pose aujourd’hui est comment faire collaborer les employés quand une partie d’entre eux travaille à domicile et qu’une autre partie est présente sur le site de l’entreprise ? Comment inciter les collaborateurs qui ont goûté aux joies et avantages du « home office » à se déplacer et revenir travailler sur site ?

Videlio, société française spécialisée dans ce domaine, a adapté sa stratégie de façon à répondre à cette mutation des usages. Que ce soit en rénovation ou en construction de bâtiments, elle facilite la collaboration sur site vers des personnes distantes, ou depuis le poste d’un collaborateur, à destination de ses collègues sur site. Du studio télé pour l’enregistrement ou le streaming live, à l’auditorium amélioré doté d’une caméra et d’une régie qui permettent de diffuser à distance. L’idée pour cette société est d’abolir les frontières du réel et du virtuel.

Mais au-delà des nouvelles problématiques de collaboration au sein des entreprises, il faut également savoir réinventer une nouvelle façon de communiquer, de capter des audiences physiques ou virtuelles. Cela peut passer par le réaménagement des espaces de travail en déployant de nouveaux services afin d’attirer les employés en dehors de chez eux. Ou tout simplement pour améliorer l’efficacité et la productivité des utilisateurs : pouvoir en amont réserver une salle de travail équipée, ou obtenir un espace dédié pour communiquer avec des personnes distantes, se faire livrer des repas, réserver une place de parking, un taxi ou un service de pressing … Certaines de ces prestations ne sont absolument pas nouvelles mais une adaptation à la conjoncture qui mixte distanciel et présentiel (places de parking partagées, bureaux partagés, réunion en mode hybride …).

L’attractivité d’un site devient cruciale au regard des nouveaux usages, et requiert le recours à des techniques modernes pour offrir de nouvelles « expériences utilisateur ». Ainsi, Videlio propose des murs Led affichant des œuvres d’art numérique ou des écrans dynamiques qui facilitent l’orientation ou diffusent tout type d’information en continu (actu, trafic, communication interne …).

Pandémie oblige, la sécurité est importante, et les fournisseurs s’adaptent. Ainsi Videlio, sous la casquette de spécialiste du bâtiment, propose un BYOD (BringYour Owndevice) généralisé qui offre aux collaborateurs le pouvoir de réserver et contrôler l’interaction avec une salle, de piloter, grâce à un automate, différents équipements et réseaux (éclairage, chauffage, appareils audio-visuels, etc.) limitant ainsi les risques sanitaires. Cette société française pousse le détail jusqu’à installer des capteurs qui comptabilisent les occupants d’une pièce, d’un espace, afin de limiter les regroupements trop importants de personnes et suggérer l’occupation d’autres espaces de travail, le chemin vers ceux-ci pouvant être fléchés par des écrans.

Le bâtiment au cœur des nouveaux usages

Le maître mot aujourd’hui est la continuité d’activité. Tous ces bâtiments numériques ne peuvent se permettre de tomber en panne au risque d’interrompre le lien entre les personnes, et donc d’entraîner une perte d’activité et de revenu. Ces bâtiments se gèrent comme tout autre matériel informatique, au travers de logiciels chargés de détecter les pannes.

Chez Videlio, il existe même des salles de supervision sur site ou pilotées à distance en mode « as a service », avec une hotline pour accompagner les utilisateurs, détecter et réparer les pannes, voire déléguer un intervenant sur site. D'autre part, Videlio, adhérente à la GPA (Global Presence Alliance), s'appuie sur ce réseau de professionnels originaires de différents  pays pour accompagner ses clients internationaux dans leur transition numérique et également pour faire de la veille technologique basée sur tous les courants d’idées actuels.

En savoir plus sur les bureaux de demain

Les 15, 22 et 29 juin prochains, trois épisodes sous forme de websérie permettront de faire le tour de ces nouvelles contraintes auxquelles font face les entreprises, des mutations qu’elles doivent opérer pour mixer présentiel et distanciel jusqu’aux nouvelles possibilités à envisager pour pratiquer l’Hybrid Workplace.