Cette nouvelle édition réaffirme que les dépenses inutiles liées aux postes de travail, aux data centers, au SaaS et à l'IaaS/PaaS restent élevées. Alors que les organisations augmentent la maturité de leurs programmes ITAM (IT Asset Management)et identifient des économies, il y a encore beaucoup d'opportunités à réduire les dépenses gaspillées.
S’appuyant sur les réponses de 500 décideurs et utilisateurs ITAM au niveau mondial, ce rapport révèle les défis auxquels ils sont confrontés, leurs initiatives actuelles et futures, leur expérience en matière d'audits et le retour sur investissement qu'ils réalisent pour leur entreprise.
25 millions de dollars d’économies
Flexera a demandé aux organisations d'estimer les économies combinées et les coûts évités qu'elles ont réalisés au cours de l'année écoulée. 11 % ont réalisé plus de 25 millions de dollars et 39 % ont dégagé entre 1 et 10 millions de dollars d'économies et d'évitement des coûts.
Les équipes SAM apparaissent comme étant déterminantes et interagissent avec de nombreuses parties de l'organisation. 68 % d'entre elles interagissent avec l'équipe de gestion des services informatiques (ITSM) et 64 % avec l'infrastructure et les opérations (I&O).
Coûts des audits Microsoft
Le rapport de cette année présente pour la première fois l'interaction des équipes SAM avec les équipes FinOps, et nous constatons déjà qu'une part non négligeable (25 %) des organisations alignent leurs équipes SAM et FinOps.
Le monde de l'ITAM est en constante évolution, comme en témoignent les responsabilités axées sur le SAM identifiées dans le rapport. Actuellement, les équipes ITAM se concentrent sur le suivi de l'utilisation des licences logicielles sur site, la réponse aux audits et la fourniture de données/analyses pour soutenir la sécurité.
Cependant, les équipes prévoient de se concentrer sur l'optimisation basée sur les droits d'utilisation, la récupération des logiciels et le suivi et l'optimisation des dépenses et de l'utilisation de l'IaaS et du PaaS dans un avenir proche.
Les éditeurs de logiciels continuent d'auditer régulièrement leurs clients. Microsoft arrive en tête des auditeurs. 53 % des personnes interrogées ont déclaré avoir été auditées par Microsoft au cours des trois dernières années, contre 46 % l'année dernière.
Ces audits peuvent s'avérer extrêmement coûteux, comme en témoignent les 3 % d'organisations qui déclarent avoir payé 25 millions de dollars ou plus en audits de logiciels au cours des trois dernières années et les 12 % qui déclarent avoir payé 5 millions de dollars ou plus.
