Si 65 % des entreprises s'y intéressent, selon IDC, le passage au cloud hybride doit s'accompagner de pratiques empreintes de prudence.
Rationalisation, agilité, intégration, automatisation, gestion, réduction des coûts, rapidité, PRA, les promesses du mariage entre le cloud privé et le cloud public sont multiples et sourient aux entreprises. Cependant, le passage des workloads de l'entreprise au cloud hybride doit s'accompagner des meilleures pratiques.
1 – Commencer par des applications 'faciles'
Pour construire la confiance et démontrer la valeur du cloud hybride, débuter par des workloads non critiques avant de passer à des applications plus sophistiquées réduit la pression.
2 – Déterminer ce qui restera on-premise
Certains workloads ne sont pas adaptés au cloud, même dans le modèle hybride.
3 – Tester, tester, tester
La migration doit s'effecteur par étape, en commençant par les demandes les plus simples, mais toujours accompagnée de tests.
4 - Se protéger des technologies trop propriétaires
Le cloud est synonyme d'évolution constante, de flexibilité, de mobilité. La capacité de migration entre plate-formes est incontournable.
5 – Choisir plusieurs fournisseurs
La multiplication et la diversité des workloads s'accompagnent de niveaux de services (SLA) différents.
6 – S'assurer de la sécurité du cloud
La sécurité du cloud retenue sur le projet doit répondre aux préoccupations de l'entreprise, qui pour cela devra s'assurer de la maturité de ses fournisseurs comme de ses datacenters.
7 - Rationaliser les ressources hybrides
L'adoption du cloud, qui plus est hybride, introduit des outils et une complexité supplémentaires, qui imposent de gérer et rationaliser.
8 – Unifier la gestion de processus familiers
La construction d'un cloud hybride s'accompagne d'une diversité des ressources et des workloads à consommer. Unifier la gestion et l'automatisation des plateformes dans un environnement unique le plus familier et intuitif possible.
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