 Ma situation n’est ni unique ni originale, bien au contraire. La conformité, le respect de codes non écrits, sont autant de freins qui empêchent l’expression des personnalités. Alors que l’Entreprise prône la diversité, l’intrapreneuriat, l’initiative, elle demeure, encore trop souvent, un lieu de formatage volontaire, lointaine dérivée de la servitude volontaire chère à La Boétie. Inconsciemment ou pas, nous tendons à refléter notre environnement, à copier les comportements de tel manager ou de tel patron, à sur-jouer des rôles qui ne sont pas les nôtres. Au risque de gommer nos talents réels au détriment de performances fantasmées.
Ma situation n’est ni unique ni originale, bien au contraire. La conformité, le respect de codes non écrits, sont autant de freins qui empêchent l’expression des personnalités. Alors que l’Entreprise prône la diversité, l’intrapreneuriat, l’initiative, elle demeure, encore trop souvent, un lieu de formatage volontaire, lointaine dérivée de la servitude volontaire chère à La Boétie. Inconsciemment ou pas, nous tendons à refléter notre environnement, à copier les comportements de tel manager ou de tel patron, à sur-jouer des rôles qui ne sont pas les nôtres. Au risque de gommer nos talents réels au détriment de performances fantasmées.
Confessions d’une ingénieure dans un monde d’hommes
            
            Une fois n'est pas coutume, IT Social offre une tribune à une personnalité issue non pas de la DSI mais de l'industrie IT. Le sujet, la franchise et le traitement sans aucune référence technologique ou commerciale nous a enclins à donner la parole à Mado Bourgoin, Directeur Technique de VMware France.
Cette tribune est opportune, le thème des inégalités sociales et sexistes occupe une partie de l'actualité depuis quelques jours. Elle st non pas féministe mais simplement réaliste, construite sur l'expérience, et c'est ce qui nous a séduits.
 
Longtemps, je me suis comportée au bureau comme un homme, ou plutôt comme je pensais que devait se comporter un homme. Je me suis trompée : j’ai cru qu’il fallait imiter les codes masculins pour être reconnue dans le monde d’une entreprise dirigée majoritairement par des hommes. Je me suis habillée, affirmée, exprimée comme je pensais qu’un homme devait le faire. Un jour, j’ai découvert que ma différence pouvait être une chance et je l’ai laissée s’exprimer. Depuis, je crois même avoir atteint mes meilleures performances en me comportant telle que je suis et non plus telle que je pensais devoir être.
 Ma situation n’est ni unique ni originale, bien au contraire. La conformité, le respect de codes non écrits, sont autant de freins qui empêchent l’expression des personnalités. Alors que l’Entreprise prône la diversité, l’intrapreneuriat, l’initiative, elle demeure, encore trop souvent, un lieu de formatage volontaire, lointaine dérivée de la servitude volontaire chère à La Boétie. Inconsciemment ou pas, nous tendons à refléter notre environnement, à copier les comportements de tel manager ou de tel patron, à sur-jouer des rôles qui ne sont pas les nôtres. Au risque de gommer nos talents réels au détriment de performances fantasmées.
Ma situation n’est ni unique ni originale, bien au contraire. La conformité, le respect de codes non écrits, sont autant de freins qui empêchent l’expression des personnalités. Alors que l’Entreprise prône la diversité, l’intrapreneuriat, l’initiative, elle demeure, encore trop souvent, un lieu de formatage volontaire, lointaine dérivée de la servitude volontaire chère à La Boétie. Inconsciemment ou pas, nous tendons à refléter notre environnement, à copier les comportements de tel manager ou de tel patron, à sur-jouer des rôles qui ne sont pas les nôtres. Au risque de gommer nos talents réels au détriment de performances fantasmées.
        
     
     Ma situation n’est ni unique ni originale, bien au contraire. La conformité, le respect de codes non écrits, sont autant de freins qui empêchent l’expression des personnalités. Alors que l’Entreprise prône la diversité, l’intrapreneuriat, l’initiative, elle demeure, encore trop souvent, un lieu de formatage volontaire, lointaine dérivée de la servitude volontaire chère à La Boétie. Inconsciemment ou pas, nous tendons à refléter notre environnement, à copier les comportements de tel manager ou de tel patron, à sur-jouer des rôles qui ne sont pas les nôtres. Au risque de gommer nos talents réels au détriment de performances fantasmées.
Ma situation n’est ni unique ni originale, bien au contraire. La conformité, le respect de codes non écrits, sont autant de freins qui empêchent l’expression des personnalités. Alors que l’Entreprise prône la diversité, l’intrapreneuriat, l’initiative, elle demeure, encore trop souvent, un lieu de formatage volontaire, lointaine dérivée de la servitude volontaire chère à La Boétie. Inconsciemment ou pas, nous tendons à refléter notre environnement, à copier les comportements de tel manager ou de tel patron, à sur-jouer des rôles qui ne sont pas les nôtres. Au risque de gommer nos talents réels au détriment de performances fantasmées.
 
             

 
