Entreprises et établissements publics : avec 93% des locaux éligibles, l’infrastructure très haut débit est prête.
D'ici 2030, le cuivre sera remplacé par la fibre et les solutions de nouvelle génération. C'est le moment d'agir. Inscrivez-vous dès maintenant à la web-série FIN DU CUIVRE : 3 risques majeurs pour l'entreprise pour maîtriser la migration et garantir la continuité ! Pour les acteurs B2B, ce n’est pas seulement une mise à niveau technique, c’est un moment décisif. Les chiffres ne mentent pas : au premier trimestre 2025, selon l’Arcep, 77 % des abonnements à Internet (32,7 millions de lignes) sont en fibre optique, tandis que les connexions en cuivre ont chuté à 5,8 millions. D’ici le 31 janvier 2026, les offres commerciales en support cuivre disparaîtront, avec déjà 162 communes confrontées à des arrêts techniques en 2025.
Une seule journée d’indisponibilité pour une entreprise ou un établissement public pourrait coûter cher, paralyser les systèmes PABX, les terminaux de paiement ou les installations de sécurité. Pour 25% d’entre elles, non connectées à la fibre et toutes celles disposant encore de lignes ADSL et XDSL dans leur parc, l’enjeu est de taille. L’hésitation découle de craintes liées aux coûts, à l’éligibilité, aux déploiements complexes ou au manque d’informations, mais le temps presse.
Symphonie de visioconférences, d'IA embarquée et de clouds collaboratifs, la fibre est le successeur du cuivre et les alternatives 5G et satellite se sont pas à pas écarter. Elles restent des choix stratégiques pertinents pour des réseaux agiles et hybrides. La fibre mutualisée (FTTH), offre des vitesses allant jusqu’à 8 Gbits/s, tout comme la fibre dédiée FTTO qui garantit les débits, avec une disponibilité de 99,99%, ce qui éclipse les 100 Mbit/s du cuivre. Pendant ce temps, la 5G et le satellite allant jusqu’à 2 Gbits/s selon la technologie et l’opérateur, offrent des alternatives aux systèmes analogiques, IoT, de secours, aux sites temporaires, non couverts ou nécessitant une mise en service immédiate.
Le message est donc clair : migrer ou stagner. Les entreprises qui agissent maintenant sont celles qui gagneront un avantage concurrentiel en termes de rapidité, de fiabilité et de durabilité. Celle qui retardent risquent de subir des délais de mise en service et réfléchir à une architecture stratégique pérenne fiable et agile.