2 entreprises sur 3 (66%) ont été confrontées à une compromission initiée grâce aux identifiants et accès de salariés.

Les salariés ont besoin de disposer d’accès aux systèmes et aux données sensible de leur entreprise pour participer à ses activités et être productifs. Mais la permission sans contrôle ni traçabilité rend l’entreprise vulnérable aux attaques.

Malgré l’évolution des pratiques et des techniques de sécurité, la question de la protection des accès et des accès à privilèges reste d’actualité. Car confrontés à des mesures de sécurité strictes et contraignantes, les salariés cherchent des raccourcis qui sont autant de comportements à risque.

Quels sont les comportements à risque ?

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Les comportements à risque se généralisent…

Qu’ils soient intentionnels ou non, les comportements à risques représentent une menace pour l’entreprise. Et ils tendent à se généraliser, affichant une augmentation révélatrice d’un problème croissant.

En 2018, les salariés :

  • 65 % notent leurs mots de passe, ils étaient 55 % en 2017.
  • 54 % divulguent des mots de passe à des collègues, ils étaient 46 % en 2017.

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Les entreprises sont également fautives

La faute des risques portés par les salariés n’incombe pas seulement aux salariés, mais également à l’entreprise elle-même, car pour la plupart elles ne se donnent pas le niveau de contrôle nécessaire pour gérer leurs comptes et utilisateurs à privilèges et faire face à ces préoccupations. Comment dans ces conditions réduire les vulnérabilités ?

Les entreprises sont pourtant conscientes du danger, elles sont 41 % seulement à avoir une confiance totale dans leurs salariés ayant accès à des comptes à privilèges.

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Source : « Rapport 2018 sur les menaces liées aux accès privilégiés » de Bomgar

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