Bilan technologique positif pour les Jeux de Tokyo. Alors que les compétitions ont drainé des milliards de téléspectateurs, ces Jeux olympiques ont été les plus connectés de l’histoire. Ce succès est en partie dû à l’orchestration des services informatique par l’ESN française Atos. En tant que partenaire informatique mondial des Jeux olympiques, Atos a déployé et orchestré les systèmes informatiques qui ont constitué le socle technologique des Jeux olympiques de Tokyo 2020. En cette période inédite, ces solutions ont notamment permis à des milliards de fans à travers le monde de suivre les compétitions.

Conformément à ses engagements RSE, Atos a participé activement aux efforts visant à réduire l’impact environnemental des Jeux olympiques, grâce à une migration complète de tous les systèmes vers le cloud, à la réalisation de tests et répétitions technologiques à distance, et à la réduction du nombre de serveurs physiques par rapport aux éditions précédentes. Ce nouveau modèle de déploiement a permis de réduire la consommation d’énergie, l’émanation de chaleur, la quantité d’infrastructures matérielles gourmandes en ressources, ainsi que le nombre de collaborateurs devant se rendre sur le site concerné. Atos utilise les mêmes technologies pour les Jeux paralympiques.

Tokyo 2020 en chiffres

  • 100 % d’applications stratégiques hébergées dans le cloud Atos
  • 400 000 accréditations émises (en hausse de 30 % par rapport à Rio 2016), ayant également servi de documents officiels pour l’entrée sur le sol japonais
  • 41 724 bénévoles acceptés via le portail dédié
  • 339 épreuves avec une transmission quasi instantanée des résultats aux fans, journalistes et diffuseurs
  • Des milliards de spectateurs
  • 200 000 heures de tests techniques pendant les préparatifs, avec la réalisation, pour la première fois, de tests techniques à distance
  • Réduction de près de 50 % du nombre de serveurs physiques par rapport aux éditions précédentes (250 serveurs pour Rio 2016 à un peu plus de 130 pour Tokyo 2020)
  • Trafic record pour les plateformes digitales des Jeux olympiques (50 % d’utilisateurs en plus par rapport à Rio 2016)
  • 6,5 millions d’utilisateurs pour le site Web officiel des Jeux olympiques au cours des premiers jours