Vers la fin du mois de septembre, Facebook a de nouveau été victime d’un piratage. 50 millions de comptes dans le monde ont été touchés par cette faille de sécurité, et ont rapidement été déconnectés par le réseau social. On soupçonne des vols de données personnelles. Et dix jours après les faits, Facebook n’a toujours pas de réponse à donner ni sur l’origine de l’attaque ni sur les implications des applications tierces dans le piratage.
Les deux géants Amazon et Apple sont quant à eux pointés du doigt par Bloomberg, qui dans une enquête, a dévoilé l’existence de puces espionnes intégrés à des serveurs manufacturés en Chine. 17 sources seraient concernées par cette interception des données, toujours selon le média américain. Mais quelques heures après la publication de l’article, Apple et Amazon ont démenti fortement ces informations. Ils affirment n’avoir découvert aucune puce lors des contrôles de serveurs.
Pour Google, face aux nombres de victimes pour Facebook, ses 500.000 comptes victimes de faille sur Google + semblent moins importants. De plus, le réseau social de Google ne sera plus d’actualité puisqu’il sera fermé bientôt. Si les données impactées ne concernent pas les messages privés comme pour Facebook, Google assure que la faille est inconnue et inexploitée par les développeurs. Elle a pourtant été découverte par le géant du web depuis mars 2018.