Selon les chercheurs de Stanford, les efforts de Facebook contre les fausses informations montrent ses premiers succès. L’étude menée par cette équipe s’est basée sur 570 sites inventeurs de publications mensongères, entre le mois de janvier 2015 et juillet 2018. La tendance à liker et partager ces types de post ont commencé à baisser à partir de la fin 2016. Pour Twitter, ce n’était pas encore le cas. Dans la liste conçue par l’équipe de Stanford figurent des spécialistes en fact-checking et les sites de contrôle. Sur ces derniers, les chercheurs ont constaté que le nombre de partage de contenus n’a pas baissé même en 2016.
Ce détachement par rapport aux fausses informations a été surtout été remarqué après les élections présidentielles américaines. La pression était aussi pesante sur Facebook qui était intimé à prendre des mesures contre la désinformation en ligne. Les experts du réseau social se sont basés sur plusieurs critères pour détecter les sites producteurs des fausses informations. Parmi eux figurent ceux qui sont trop récents. L’étude menée par l’équipe de Stanford a aussi permis de savoir que certaines listes de sites ont été fournies par des médias partenaires de Facebook.