Culture Digitale : 1 #Apple 2 #AymerilHoang 3 #WannaCry 4 #FrenchTech 5 #Uber 6 #Chatbots

Apple a confirmé auprès des médias que les iPhone 6, 6s, SE et 7 utilisent un nouveau système de lissage qui assurerait la performance des batteries. Rappelons que ce problème est apparu pour première fois sur Reddit. Un utilisateur aurait constaté que son iPhone 6s était de moins en moins performant. Selon John Pool, fondateur de Geekbench, un message indiquant que la batterie est vieillissante serait affiché dans les versions 10.2.1 et 11.2.0 (iPhone 7) d’iOS. Il semblerait qu’Apple ait dissimulé cette fonctionnalité pour réduire le nombre de batteries à remplacer. Cependant, cela n’a pas empêché les internautes de trouver l’erreur d’alimentation. À lire aussi : Véhicules autonomes : comprendre la détection d’obstacle selon Apple

Selon les informations de Challenges, Aymeril Hoang, directeur de l’innovation de la Société Générale, serait le nouveau directeur de cabinet du secrétaire d’État. Cette information n’a pas encore été confirmée. Titulaire d’un DEA en économétrie ainsi qu’en Droit Public et agrégé en économie-gestion, Aymeril Hoang débute dans le secteur public. Sa carrière se poursuit dans le domaine de la télécommunication lorsqu’il intègre la DGCCRF. Par la suite, il est resté 5 ans aux États-Unis pour gérer plusieurs administrations françaises. À son retour, il se trouve à la tête d’une startup et rejoint le cabinet de Fleur Pellerin. À lire aussi : Le Baromètre du numérique vu par l’Etat

Accusé pour être l’auteur de l’attaque WannaCry, le gouvernement nord-coréen riposte contre les États-Unis. Le porte-parole du ministère des affaires étrangères de la Corée du Nord a déclaré que ces accusations étaient « absurdes et motivées par des arrières pensées ». Selon toute vraisemblance, le pays serait un allié du groupe de pirates Lazarus. Rappelons qu’en octobre dernier, le régime Pyongyang avait déjà été incriminé par le ministre britannique de la sécurité. D’après lui, la Corée du Nord aurait travaillé avec Lazarus pour diffuser WannaCry. Les présomptions semblent fondées, d’autant plus que les experts de la sécurité ont du mal à identifier les cybercriminels. D’autres États comme la Chine et la Russie ont été régulièrement accusés. À lire aussi : Malwares et phishing, moins nombreux mais plus dangereux

Après l’échec du CNNum, Mounir Mahjoubi, secrétaire d’État au Numérique, mise sur la French Tech. En effet, pour le CES 2018, le label français regroupera près de 274 startups, un peu moins que les américaines (280), mais plus que les néerlandaises (60) et les chinoises (55). Comparé aux années précédentes, ce nombre démontre que la French Tech compte être au meilleur de sa forme, d’autant plus que les exposants seront plus de 365. Lors de l’évènement, 2 startups françaises sont quasi assurées de gagner le prix du « Best of Innovation Award » : Blue Frog Robotics et Lancey Energy Storage. Notons que celles-ci font déjà l’objet d’un bon coup médiatique. À lire aussi : La sieste, le M-Commerce, les drones, la FrenchTech, l’itinérance, et le Qui fait Quoi ?

Selon Matthias Deeg et Philipp Buchegger, des chercheurs en sécurité de SySS GmbH, Windows Hello serait vulnérable. Ils ont démontré que le système de reconnaissance faciale pouvait être contourné par une simple photo imprimée, même si l’« Enhanced Anti-spoofing » était activé. Par contre, sur les versions Windows 10 v1703 et v1709, le piratage ne fonctionne pas si l’option est mise en marche. Pour être à l’abri des hackers, les utilisateurs devront installer la plus récente version de Windows 10 avec « Enhanced Anti-spoofing » intégré ou tout simplement recourir au verrouillage par mot de passe. À lire aussi : La migration vers Windows 10 s’accélère, 25% des systèmes ont migré

D’après l’étude de l’Institut Occurrence pour Do You Dream Up, 16% des professionnels français utilisent les chatbots. Il semblerait que cette technologie soit plus à la portée des grandes entreprises. Selon les analyses, 86% des sociétés pensent que leur agent conversationnel répond aux critères. D’ici l’année 2024, cette nouvelle technologie connaîtra un plus grand essor. mais 92% des marketeurs sondés estiment que ces robots risqueraient de supprimer des postes au sein de leur domaine. À lire aussi : La révolution des chatbots conversationnels : l’exemple Facebook