Alors que les entreprises entrent dans l’ère du numérique, voici 3 bonnes pratiques qui optimiseront l’utilisation de DevOps et des méthodologies agiles dans le cadre de la transformation digitale.

La transformation digitale impose aux entreprises l’utilisation de la technologie numérique et de redéfinir leurs objectifs dans un focus sur l’expérience client. Entre les nouveaux usages, les plateformes numériques, le mobile, le cloud, l’IoT et l’IA, pour ne citer que les grandes tendances, l’agilité et DevOps s’imposent, car l’ensemble des tendances repose sur le logiciel.

Facteurs de différenciation à l’ère de la transformation digitale, l’agilité en approche cascade cloisonnée, et l’usage de DevOps pour raccourcir le cycle de développement logiciel, s’imposent aux développeurs afin d’accélérer le rythme de l’innovation et gagner la confiance des clients.

Voici 3 bonnes pratiques DevOps pour suivre le rythme des transformations digitales :

1Automatiser dans la mesure du possible

Face à la concurrence qui ne ménage pas ses efforts pour s’approprier le numérique, l’innovation est incontournable, et pour cela la DSI doit pouvoir libérer du temps d’ingénierie au sein de ses équipes. Le choix des bons outils au service de l’environnement informatique – le bon outil est celui qui permet de réduire le temps, les coûts et les erreurs – portera en priorité sur le pipeline CI/CD des sources via un référentiel pour l’automatisation des tests, puis vers des déploiements en production, de préférence sans intervention humaine.

2Aligner les objectifs du développement et de la sécurité

Sans sécurité, les progrès réalisés par le numérique risquent fort de se traduire par une augmentation des risques provenant des cybercriminels. L’accélération du cycle de vie des développements logiciels se traduit trop souvent par la réduction des temps d’analyse de sécurité et des tests de pénétration. L’entreprise doit pourtant s’assurer que son produit est sécurisé avant de le mettre sur le marché, qu’il respecte les normes sécuritaires, qu’il pourra passer les tests d’assurance inscrits dans le pipeline. A elle de former ses développeurs à l’écriture d’un code sécurisé.

3Mesurer le ROI

J’en voie déjà qui s’insurgent en affirmant « plus facile à dire qu’à faire ! ». Et c’est vrai car l’accent mis sur la culture et les processus ne facilite pas la détermination d’une valeur associée à DevOps. Et pourtant, la preuve de l’apport de valeur est essentielle. Heureusement, le ROI peut être déterminé au travers de questions précises : Combien de temps pour libérer un changement de code ? Combien de temps pour arriver entre les mains du client ? Quelle est la capacité de l’entreprise à fournir continuellement des logiciels de qualité, avec des résultats plus rapides et dans une expérience client positive ? L’objectif final du ROI sera d’améliorer la réputation de la marque et ses revenus.

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