On craignait que le Green IT soit passé aux oubliettes… Il est pourtant toujours d’actualité, en attestent ces 10 réponses à des idées reçues sur le cloud vert que nous propose l’AGIT, l’Alliance Green IT.

Souvenez-vous, il y a encore une dizaine d’année, le Green IT, à la fois contrôle et réduction de la consommation énergétique, mais également comportement sociétal visant à mettre en avant les énergies ‘vertes’ et renouvelables, était plus ou moins dans tous les esprits. Et puis, la crise s’est installée, et les priorités ont changé. L’objectif n’était plus d’être écoresponsable, mais bien de réduire les coûts, voire de survivre pour les plus fragiles ou pour les entreprises soumises au dictat ce certains investisseurs. Et peu importe la démarche ‘green’, celle-ci est passée au second plan.

1. L'exemple vient parfois du marketing

A l’exception de certains grands acteurs qui sous le feu des médias et des associations de protection de l’environnement se doivent de se montrer exemplaires. Parfois le marketing aide à maintenir une ligne directrice. Citons, parus dans nos lignes :

  • Apple à qui, pour la troisième année consécutive, Greenpeace a attribué le titre de grande société technologique la plus écologique au monde. Le nouveau siège futuriste d’Apple, en construction, aligne 700.000 pieds carrés (environ 65.000 m2) de panneaux solaires qui fourniront 100% d’énergie renouvelable.

Lire « Apple est le meilleur élève de la classe green, selon Greenpeace » 

  • Ou encore Google, dont les algorithmes de son intelligence artificielle DeepMind auraient déjà permis de réduire d’environ 40% la quantité d'énergie utilisée par les systèmes de refroidissement dans ses datacenters, ce qui aurait réduit la consommation globale en électricité de ces derniers de 15%.

Lire « L’IA de Google veut réduire de 10% la consommation énergétique britannique » 

L’organisation environnementale Greenpeace estime que l'empreinte énergétique du secteur des IT est de 7% de la consommation d'électricité mondiale. Une consommation énergétique qui ne peut qu’augmenter puisque le trafic Internet mondial devrait tripler d’ici 2020. Et si l’on se concentre sur les seuls datacenters, une fois passée la lourde phase initiale d’investissement dans l’immobilier, les systèmes de refroidissement et de sécurité énergétique, et les infrastructures, les dépenses se répartissent à presque parts égales entre la masse salariale et la fourniture électrique.

C’est pourquoi, même si on en parle moins, le Green IT est toujours d’actualité. Et c’est ce que viennent nous rappeler ces 10 idées reçues sur le cloud vert, que l’AGIT traite avec respect, sans cacher une réalité qui parfois peut surprendre.

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2. Le Cloud est vert car… Idée reçue 1

 

3. Le Cloud est vert car… Idée reçue 2

4. Le Cloud est vert car… Idée reçue 3

5. Le Cloud est vert car… Idée reçue 4

6. Le Cloud est vert car… Idée reçue 5

7. Le Cloud est vert car… Idée reçue 6

8. Le Cloud est vert car… Idée reçue 7

9. Le Cloud est vert car… Idée reçue 8

10. Le Cloud est vert car… Idée reçue 9

11. Le Cloud est vert car… Idée reçue 10

12. En savoir plus

L’intégralité du document relatif aux 10 idées reçues sur le Cloud Green est accessible sur le site de l’Alliance GreenIT. Cliquer ici.

Par ailleurs, l’AGIT nous propose une sympathique et didactique vidéo de découverte du cloud et du Green. Cliquer ici.

Image d’entête 528561335 @ iStock bagotaj