Culture Digitale : 1 #Qualcomm 2 #AppleStore 3 #Instagam 4 #Facebook&Twitter 5 #Ionity 6 #WhatsApp

Broadcom a fait part de son projet de rachat de Qualcomm lundi dernier. Cette transaction serait la plus grande de l’industrie technologique avec 130 milliards de dollars à la clé, soit très loin devant celle de Dell en 2015 lors du rachat d’EMC à 65 milliards de dollars. La fusion des deux grandes marques ne sera que bénéfique pour les deux parties : Qualcomm en tant que premier producteur mondial dans le SoC pour smartphones, et Broadcom spécialiste en puces Wi-Fi et GPS. Ce projet va aider Qualcomm à se redresser étant donné que la firme est en perte de vitesse depuis son litige avec Apple. Elle a perdu jusqu’à 20% de sa valeur, ce qui inquiète les investisseurs, mais c'est également une opportunité pour Broadcom de faire une bonne acquisition. Non seulement elle pourra remonter dans le classement des premiers concepteurs de puces, mais surtout, elle aura accès aux divers brevets de Qualcomm. Cette rumeur de possible rachat a d’ailleurs fait remonter de 15% l’action Qualcomm. Cette dernière n’a pas encore donné de réponse et a juste annoncé dans un communiqué son désir de choisir la meilleure option pour ses actionnaires. Si la réponse est positive, Broadcom aura également l’occasion de finaliser la transaction qui a déjà eu lieu entre Qualcomm et NXP, qui traine depuis bientôt un an. Et deviendra le troisième concepteur de puces sur le marché après Intel et Samsung. À lire aussi : Le CPU du smartphone à la conquête des PC

La chaîne YouTube Improv Everywhere a créé un faux Apple Store pour piéger les fanas d’iPhone. Comme la sortie de l’iPhone X affole les médias et les réseaux sociaux, ces YouTubeurs ne se sont pas gênés pour mettre en œuvre une supercherie. Ils se sont inspirés de l’Apple Store « Cube » (en cours de travaux) sur la 5e avenue. Les blogeurs ont transformé la structure en verre d’un ascenseur du métro de New York en une boutique Apple : des logos de la marque, des genius et 50 figurants pour former une queue d’acheteurs. Eh oui, toute une mise en scène pour attirer la curiosité des passants. Les faux clients avec leur sac Apple « fake » auraient même eu droit à des applaudissements en sortant de la fameuse boutique. À lire aussi : A vendre, 81 jours après avoir été abandonnée par Apple !

On peut dire que l’innovation est de rigueur chez Instagram. Après les lives duo et le superzoom, la firme confie dans « The Verge » que le stop-motion est en phase de test. Cette nouvelle fonctionnalité permettrait de prendre des photos pour en faire un GIF ensuite. L’utilisateur n’aura qu’à appuyer sur le bouton « terminer » pour ajouter des stickers et un texte. Puis, il pourra publier sa vidéo ou la supprimer. Avec stop-motion, Instagram part à la conquête de la nouvelle génération au même titre que Snapchat. Selon l’enquête de comScore, celui-ci aurait 46,8% d’abonnés de 18 à 24 ans. À lire aussi : Instagram, sites marchands, jet d’encre, démat chez Jardiland, VDI, ERP SAP chez Spie…

L’histoire de Donald Trump et ses présumés rapports avec les élections présidentielles russes de 2016 n’en finit pas. Selon le Paper Paradise, deux importantes firmes proches du Kremlin auraient investi dans Facebook et Twitter à l’aide d’un ancien collaborateur de Jared Kushner, le gendre du président américain. Les sources affirment que l’entrepreneur russe Youri Milner aurait placé 800 millions de dollars dans Facebook, 400 millions dans Twitter et 100 millions dans Airbnb. Les financements proviendraient de VTB, la deuxième plus grosse banque de Russie, et de Gazprom, une filiale de la compagnie pétrolière et gazière publique. Bien que le milliardaire ait occupé le poste de conseiller en nouvelles technologies auprès du gouvernement, il affirme que ces investissements étaient de nature commerciale et non politique. À lire aussi : La révolution des chatbots conversationnels : l’exemple Facebook

À l’issue d’une collaboration entre BMW, Daimler, VAG et Ford, la nouvelle plateforme de Superchargers ouvrira avant fin 2017. Baptisé Ionity, ce réseau compte bien se démarquer de Tesla qui actuellement traverse une période assez difficile. Pour l’horizon 2020, Ionity proposera près de 400 stations de recharge réparties sur toute l’Europe. À court terme, le consortium prévoit de mettre en place 20 stations avec des bornes tous les 120 km, avant la fin de cette année. Selon les responsables, l’Allemagne, l’Autriche et la Norvège seraient les premiers bénéficiaires. À noter que les derniers chiffres de Tesla affichent environ 345 stations avec plus de 2.500 connecteurs, à une distance de 200 km. Rappelons que le constructeur américain a développé depuis avril 2016 un programme de Recharge à destination. Ce système permettrait aux utilisateurs de retrouver facilement une recharge auprès d’un hôtel ou d’un centre commercial. Ce réseau compte actuellement plus de 7.000 destinations. Niveau performance, si les Superchargers Tesla affichent 120 à 150 kW avec une vitesse de charge de 30 minutes (80%), Ionity se montre plus rapide avec 15 minutes. Pour étendre son réseau, Ionity prévoit des partenariats publics privés. De cette manière, les bornes pourront être installées dans les grands axes autoroutiers européens. À lire aussi : Constructeurs automobiles et équipementiers IT se connectent à la voiture autonome

Une imitation plutôt réussie de WhatsApp Messenger était disponible sur Google Play Store depuis quelques jours. Cette application, comme tout autre pollueur, a engendré diverses publicités véhiculant des codes dangereux. Plus d’un million d’abonnés l’ont téléchargée sur leur smartphone. Update WhatsApp Messenger avait tout d’une appli originale : couleur, logo... et le nom du développeur WhatsApp Inc. a confondu tout le monde. Repérée par les utilisateurs de Reddit, cette application n’aurait aucunement les fonctions de messagerie mais juste un outil pour partager d’autres logiciels pour smartphones. Pour le moment, l'appli fake a été supprimée du Play Store américain, mais continue toujours à être téléchargeable en France ! Bien que Google ait lancé son application détectrice de malware et d’applis malveillantes dernièrement, Google Play Protect semble ne pas encore réussir pour le moment à tout sécuriser. À lire aussi : Whatsapp Messenger