1Les questions pratiques les plus demandées sur Google
Vous n'êtes sans doute pas le seul à questionner Google. Mais quelle est la question la plus tapée sur le site? Un journaliste spécialisé dans l’analyse de données et Google’s New Lab ont conçu un site web reprenant les recherches de réponses à des questions pratiques ou " How to " les plus tapées sur le web. Ils ont baptisé ce dernier How To Fix a Toilet. Vous avez probablement déjà écrit cela sur le moteur de recherche, vous n'êtes donc pas le seul, car c'est la question la plus tapée. Selon Simon Rogers du News Lab de Google, les requêtes qui débutaient par " comment " avaient augmenté de 140% depuis 2014. Il est possible aussi de sélectionner son pays sur le site afin de voir quelles sont les questions pratiques. On notera également que les Français se soucient beaucoup de réparer un mur, des WC ou bien une prise. Le site How To Fix a Toilet est simple, facile à interpréter et permet de passer un bon moment. À lire aussi : Google sait (presque) tout de vous, et vous le montre2Google abuse-t-il de son pouvoir?
Google vient d’éjecter la société Vivaldi du service Google AdWords après que son PDG l'a ouvertement critiqué. En règne dans plusieurs secteurs clés, la firme génère de plus en plus d’accusations et le dernier exemple en date est celui de Vivaldi. Les raisons invoquées sont floues et peu crédibles. Mais le PDG estime qu’il s’agissait peut-être d’une action de rétorsion suite à une interview qu’il avait donnée au magazine Wired. Plusieurs exemples ont récemment été évoqués sur ce sujet. La semaine dernière, c’est le licenciement de Barry Lynn, un membre éminent du groupe de réflexion New America, qui a fait du bruit. Pour Barry, c’est évident que son licenciement est une conséquence des pressions politiques de Google. Kashmir Hill s’est aussi fendue d’une note de blog où elle y relate les pressions exercées par l’entreprise sur son ancien employeur Forbes en 2011. Tous ces cas montrent donc le poids démesuré qu’a pris la firme américaine. À lire aussi : Google Physical Web, l’interaction à la demande avec les objets connectés3La justice européenne réprime l'espionnage des emails privés au bureau
En France l'utilisation de la messagerie professionnelle à des fins personnelles est possible. Mais ce n'est pas le cas à l'échelle européenne. Cela pourrait bientôt changer suite à la décision de la Cour de Justice Européenne de conclure à la non-violation de l'article 8 de la Convention relative. En août 2007 Bogdan Mihai Bărbulescu, un commercial roumain est licencié par son entreprise étant accusée d'avoir utilisé à des fins personnelles un compte de messagerie Yahoo. Surveillé et licencié après, il a remis en cause cette décision et a obtenu satisfaction en portant l’affaire devant la Grande Chambre de la Commission. D’après cela, la Cour est d’avis que les autorités nationales n’ont pas défendu de manière adéquate le droit de M. Bărbulescu. Jugeant alors que la surveillance des communications électroniques d'un employé constitue une violation, une jurisprudence pourrait bien avoir lieu à l'échelle des 47 pays membres du Conseil de l'Europe. À lire aussi : Les Français accros à l’email y consacrent la moitié de leur temps de travail (infographie)4Meero: 15 millions d’euros pour ubériser la photographie commerciale
La SAS parisienne dans le secteur immobilier avec une place de marché de photographes indépendants avait dévoilé en juin dernier, une première tranche de 4,1 millions d’euros. Xavier Niel,Fabrice Grinda et Bernard Arnault sont parmi les investisseurs cités à cette occasion. Et le cercle s'accroît avec trois fonds d’origine française, allemande et britannique d’un montant de la levée atteint 15 millions d’euros. Sur Twitter, Meero donne une idée du développement de l’activité au quelle s'ajoute des chambres d’hôtel, des immeubles de bureaux ou encore des cabinets d’architectes. La commercialisation qui avait débuté en novembre 2015 couvre à ce jour la France, la Suisse, la Belgique, le Luxembourg, l’Espagne, le Portugal et Israël. Meero qui dit fédérer plus de 4 000 photographes compte aussi montés en puissance sur d’autres verticales. À lire aussi : La photo avant le texte pour capter l’attention de l’internaute5Orange accélère pour rattraper SFR
Les tour-opérateurs ont poursuivi la construction de leurs réseaux mobiles LTE en métropole en mois d'août. Ainsi, 1,2% de nouveaux sites ont été mis en service en un mois. D'après l’ANFR, 36 750 points hauts disposent d’une autorisation d’exploitation pour 32 682 effectivement en service au 1er septembre. Se classant troisième notamment derrière SFR, Orange vise à rattraper son retard sur la concurrence. Il accélère donc en activant 240 points de connexion mobile. SFR qui se détache du lot avec 12 414 sites est suivie d'Orange et de Bouygues Telecom avec 10 161 et 10 749 sites respectivement. Notons aussi que 1622 supports 4G sont également exploités par sept opérateurs en Outre-Mer. À lire aussi : Orange rachète Cloudwatt, l’échec du cloud souverain6Les FAI incités à afficher les vrais prix des forfaits
L'offensive de Bercy devrait réjouir les associations de consommateurs ainsi que Free qui échappent à la fronde de la DGCCRF. Maxime Lombardini, dg de l'opérateur estime qu'à un moment le consommateur est un peu trompé dans les frais de location de box par mois. C'est une vieille habitude prise par certains opérateurs télécoms d'exclure le prix de certaines composantes de leurs forfaits pour alourdir la facture mensuelle. La DGCCRF (répression des fraudes) s'est alors adressée aux Fournisseur d'Accès à Internet (FAI) via un courrier pour afficher le vrai prix des abonnements. Un arrêté de 1987 indique en effet que toute information sur les prix de produits ou de services doit être dévoilée. La répression des fraudes demande alors une offre d'accès internet fixe avec la somme totale qui devra être payée par le consommateur. Les opérateurs devront donc se conformer sur cela avant février prochain. À lire aussi : Visualisons l’internet des objets, de l’origine à 2020 (infographie)7Le site YouTube-MP3 va fermer ses portes
D'après le site Torrent Freak, YouTube-MP3 qui est le plus important service en ligne de conversion de vidéo en MP3 va s'arrêter. L'International Federation of the Phonographic Industry a mené une enquête l’an dernier montrant que cette pratique est illégale. Ayant dépassé les autres formes de téléchargements, les acteurs du secteur ont lancé des offensifs contre les sites offrant ce service. En septembre 2016, les maisons de disques avaient ainsi décidé d’attaquer YouTube-MP3 devant une cour fédérale pour violation du copyright. C’est un an après que les protagonistes ont trouvé un accord pour régler leur contentieux. En ce jour, le site est toujours accessible, mais lorsque l’on essaye de convertir une vidéo YouTube, l’opération n’a pas lieu et suivi d'un message indiquant que le service est en maintenance. Youtube-MP3 ne sera peut-être plus là, mais d'innombrables autres sites proposent encore la même fonction. À lire aussi : McDo UK ferme sa chaîne YouTube… par manque d’amour !8Le ransomware Locky revient à nouveau
En fevrier 2016, le Hollywood Presbyterian Medical Center de Los Angeles en Californie a été visé par le ransomware Locky. L’attaque a chiffré les systèmes de tout le réseau, empêchant les employés d’accéder aux ordinateurs et aux données. L’hôpital a alors fini par céder et a accepté de payer une rançon de 40 bitcoins, correspondant à 17.000 dollars. Le but est de récupérer la clef de déchiffrement. Locky a poursuivi ses infections au cours de l’année 2016 à un rythme effréné, et en novembre 2016 il était devenue l’un des malwares les plus communs. Il a entièrement disparu en décembre 2016 pour refaire surface en janvier. Cette fois ci, dans des proportions moindres par rapport au volume de diffusion constaté précédemment. Les victimes étaient alors visées par de nouvelles évolutions de nommé Diablo et Lukitus. A chaque fois donc que Locky ressurgi après une période de silence, son comportement est différent. À lire aussi : Ransomware : état des lieux d’une menace devenue majeure (infographie)
